Préambule : bonne nouvelle, nous ne sommes plus en rupture de stock ! Le livre est désormais de nouveau disponible en librairies, sur les plateformes (FNAC et Amazon) ainsi que chez Nature et Découverte. Vous pouvez trouver toutes les options ici.
Depuis le lancement de La Chaise Tue, il se passe quelque chose.
Nous sommes invités à présenter le livre par des journalistes, sur des podcasts ou des chaînes YouTube. Voici notre passage sur l’émission Dialogues de Fabrice Midal :
Des analyses du livre apparaissent comme celle-ci d’Eliott Meunier, auteur du livre Arrêtez d’oublier ce que vous lisez.
Nous remercions toutes ces personnes pour leurs retours :
Julien Gueniat : Ce que j’adore dans ce livre, c’est que la marche nous éloigne de l’injonction de la performance perpétuelle, génère anxiété, burn-out et dépression
Estelle Dacheux : J’avais besoin de cet électrochoc. Grâce au livre, depuis une semaine, je conscientise beaucoup plus mon temps passé assise et je réintroduis du mouvement : 10-15 min de yoga tous les matins, quelques mouvements ou montées d’escalier à chaque fois que je me lève (et j’essaie de me lever plus souvent), plus de marche quotidienne. Exemple : lundi, j’ai transformé un appel qui était programmé en une heure de balade d’un pas vif, dehors au soleil. Cardio et vitamine D activés !
Thierry Vanoffe : Le week-end dernier, j’ai littéralement dévoré le dernier livre d’Alexandre Dana et Victor Fersing, intitulé “La Chaise tue”. Quelle prise de conscience (pour ne pas dire quelle claque magistrale) et je ne pouvais pas rester insensible en tant que dirigeant d’entreprise.
Alexis Poirson : “La Chaise tue” d’Alexandre Dana et Victor Fersing est le nouveau livre que j’aimerais offrir à tous mes proches.
Maëlle Ranquet : Je suis persuadée que ce livre continuera à faire bouger les lignes… et les corps 😉 À placer sous le sapin en de multiples exemplaires !
Maëlle Gaultier : La grosse révélation du livre jusqu’à présent, c’est qu’on peut être sportif et sédentaire : c’est-à-dire faire 1h de sport 2x par semaine mais être scotché sur une chaise ou sur son canapé le reste du temps… Bouger, c’est parfois de simples petits mouvements du quotidien !
Toutes ces belles nouvelles nous permettent d’y croire !
Et il faut de l’espoir pour faire connaître un livre. Le défi de la visibilité est réel pour différentes raisons :
La surabondance éditoriale. Chaque année, des dizaines de milliers de nouveaux titres sont publiés (rien qu’en France, c’est environ 70 000 à 80 000 nouveaux livres par an). La Chaise tue doit donc émerger dans un océan de parutions.
Le budget limité en communication. Contrairement au cinéma ou à la musique, les maisons d’édition dispose de budgets de communication très restreints. Vous ne verrez pas d’affiches dans le métro pour La Chaise tue pour l’instant..
La crise de l’attention. Avec les réseaux sociaux, on se détourne malheureusement de plus en plus des livres.
Les premières semaines de la vie d’un livre sont alors décisives !
L’effet de momentum. Les trois à quatre premières semaines après la sortie sont cruciales car elles créent (ou non) une dynamique. Si un livre démarre bien, il génère du bouche-à-oreille, des chroniques, des invitations médias. Ce momentum initial est très difficile à recréer plus tard. Un livre qui démarre mollement aura du mal à re-décoller, même s’il est excellent.
La fenêtre d’attention médiatique. Les médias et prescripteurs se concentrent sur les nouveautés. Passé un mois, un livre n’est déjà plus “nouveau” et l’attention se porte sur les sorties suivantes. C’est une sorte de course contre la montre.
Le principe de “place sur les tables”. Dans les librairies, l’espace de mise en avant est limité et temporaire. Un livre a quelques semaines en vitrine ou sur les tables “nouveautés” avant de céder la place aux prochaines parutions. S’il ne se vend pas pendant cette période, il retourne sur les rayonnages verticaux où il devient quasi invisible.
Les libraires se basent donc sur les ventes initiales, et je les comprends. Leur espace est limité. Ils ne peuvent pas conserver indéfiniment tous les livres qui se vendent peu. Leur décision de réassortir ou non un titre repose donc sur des données concrètes : les ventes initiales. De bonnes ventes initiales signalent au libraire que le livre “marche”, qu’il y a un public, que d’autres librairies le vendent aussi. Cela le rassure et l’incite à maintenir le titre en stock, voire à en commander davantage. À l’inverse, des ventes faibles suggèrent un manque d’intérêt du public.
Chaque auteur fait donc face à un cercle vicieux ou vertueux.
Cercle vertueux : bonnes ventes → visibilité → plus de commandes → plus de visibilité → meilleures ventes
Cercle vicieux : ventes faibles → retrait des tables des libraires → moins de commandes → moins de visibilité → ventes encore plus faibles
C’est pourquoi nous dormons peu avec Victor durant ces semaines de lancement ! Et que nous vous sommes infiniment reconnaissants pour votre soutien. Chaque partage compte.
Alexandre et Victor