Merci pour cet article ultra intéressant. Je pratique le coaching en marchant justement pour faciliter la pensée divergente des personnes que j’accompagne, les séances de visualisation que certains dirigeants ne parviennent pas à faire entre 4 murs… et quel kiff !
Oh que ça fait plaisir de lire ce genre de retours !! Mon père a été psychanalyste toute sa vie et souffre directement des conséquences de la sédentarité dans sa santé physique. En proposant la walking thérapie , tout le monde y gagne !
Exactement. Je sentais les effets nocifs de la sedendarité à différents niveaux : le corps, mais aussi ma capacité à accueillir le récit des patients qui se dégradait..
depuis que je travaille dehors ma créativité a évolué vitesse grand V avec les patients mais aussi dans l’écriture. Je suis plus que convaincue des bienfaits que vous relatez dans votre article.
Très intéressant, merci pour ces réflexions. J'adore aller marcher mais je ne me l'autorise que rarement (quand on est à son compte, la culpabilité de disposer se son temps de manière agréable n'est jamais loin..). Je suis artiste et j'ai remarqué que ces marches m'aident vraiment à retrouver du souffle et de l'envie pour ma créativité, surtout quand je sens que je tourne en rond, que ça ne veut pas. L'avantage aussi de marcher, c'est la vitesse à laquelle on va : on peut ralentir, faire demi-tour, s'arrêter, s'accroupir ou presser le pas. Je peux prendre le temps. Ça aide à voir les choses autrement (par rapport au train que j'aime bcp aussi mais ce n'est pas la même posture). Ravi de vous découvrir avec ce texte, au plaisir de vous suivre ! 😌
Merci beaucoup pour le retour, Océane ! Je comprends tellement cette culpabilité quand on est indépendant... J'aime beaucoup votre observation sur la liberté du rythme - cette possibilité de ralentir ou d'accélérer selon nos besoins.
Je pratique, comme psychiatre, le brainspotting , variante de l'EMDR pour désensibiliser les trauma et les émotions débordantes. Dans les 2 techniques il y a une pratique de stimulation bilatérale alternée du cerveau, visuelle, auditive ou tactile. Je me suis toujours demandée si dans le passé la marche, ou le vélo n'avaient pas cette fonction régulatrice des trauma (qui n'épargnaient pas nos ancètres), à travers l'alternance motrice et tactile...
preneuse aussi de liens pour la thérapie en marchant !!!
Merci beaucoup Agnès pour votre message ! Auriez-vous des ressources à me communiquer sur le brainspotting ? Cela m'intéresse... Pour la thérapie en marchant, je vais essayer de faire un épisode dédié sur le sujet !
Bonjour et merci pour ce long partage très intéressant. Je te suis très reconnaissant d'avoir pris le temps de partager autant d'informations et de ressources.
Beaucoup de références que je vais parcourir pour enrichir ma connaissance sur les sujets de l'ennui, du mouvement et de la marche.
Pour ma part, j'appelle ça "fantômer", partir seul durant 2 jours ou plus, pour randonner à pied ou à vélo, dans des zones reculées en autonomie maximale. Marcher seul, me permet de nettoyer et vider mon cerveau de la pollution de la vie courante pour arriver, grâce à la marche, à un état méditatif qui me permet une grande créativité. Je tente de le faire 2 à 3 fois par an.
Quant à la chaise de bureau, je la consomme quand j'en ai besoin, comme le dit si bien l'addictologue Robert Van De Graaf.
Pour la disparition des enfants de l’espace public, la conséquence est aussi que les adultes (certains, décomplexés) ne supportent plus de côtoyer des enfants dans les espaces publics.
Oui, et depuis le début de l’écriture de ce livre , nous voyons bien qu’il est impossible de dissocier le sujet de la sédentarité de celui du rapport aux écrans
Merci pour ce bel article! J'admire vos recherches de livres, vidéos et autres sources qui se mèlent tellement bien au sujet! J'ai appris beaucoup de nouvelles choses!
Effectivement se balader sans but peut nous mener découvrir des trésors cachés. Quand je suis à l'étranger j'adore en apprendre plus sur la culture. Après avoir visité des monuments connus, je marche pour voir comment les gens vivent, qu'est-ce-qu'ils font, les odeurs, les sons etc... J'ai beaucoup aimé faire ça en Thaïlande surtout dans les marchés de jour et de nuit.
Et concernant l'école on se pose souvent la question de comment cela pourrait évoluer de manière positive. Cela fait des décennies que les salles de classes sont faites de la même manière, où sont les tables rondes et justement ses lieux de réflexion? Je trouve qu'à l'université, les voyages "fieldtrips" nous aident tellement. J'en ai fait dans des parcs nationaux en Thaïlande et je trouve que c'est la meilleure manière d'apprendre. C'est important de marcher, photographier et échanger avec les autres sur le terrain.
Merci pour cet article ultra intéressant. Je pratique le coaching en marchant justement pour faciliter la pensée divergente des personnes que j’accompagne, les séances de visualisation que certains dirigeants ne parviennent pas à faire entre 4 murs… et quel kiff !
Merci pour cet article !
J’ai récemment lâché mon cabinet de consultation et propose de la walking thérapie à mes patients : c’est révolutionnaire !!!
Oh que ça fait plaisir de lire ce genre de retours !! Mon père a été psychanalyste toute sa vie et souffre directement des conséquences de la sédentarité dans sa santé physique. En proposant la walking thérapie , tout le monde y gagne !
Exactement. Je sentais les effets nocifs de la sedendarité à différents niveaux : le corps, mais aussi ma capacité à accueillir le récit des patients qui se dégradait..
depuis que je travaille dehors ma créativité a évolué vitesse grand V avec les patients mais aussi dans l’écriture. Je suis plus que convaincue des bienfaits que vous relatez dans votre article.
Et je vais partager votre retour à mon papa :)
Merci pour le partage ! J’espère que vous inspirerez de nombreux thérapeutes à faire de même
Ouiii des écoles où le corps a sa place ! 😍
Je rêve d’un jour combiner l’enseignement de la littérature et le yoga/la marche !
Ce rêve deviendra réalité, Juliette !
Très intéressant, merci pour ces réflexions. J'adore aller marcher mais je ne me l'autorise que rarement (quand on est à son compte, la culpabilité de disposer se son temps de manière agréable n'est jamais loin..). Je suis artiste et j'ai remarqué que ces marches m'aident vraiment à retrouver du souffle et de l'envie pour ma créativité, surtout quand je sens que je tourne en rond, que ça ne veut pas. L'avantage aussi de marcher, c'est la vitesse à laquelle on va : on peut ralentir, faire demi-tour, s'arrêter, s'accroupir ou presser le pas. Je peux prendre le temps. Ça aide à voir les choses autrement (par rapport au train que j'aime bcp aussi mais ce n'est pas la même posture). Ravi de vous découvrir avec ce texte, au plaisir de vous suivre ! 😌
Merci beaucoup pour le retour, Océane ! Je comprends tellement cette culpabilité quand on est indépendant... J'aime beaucoup votre observation sur la liberté du rythme - cette possibilité de ralentir ou d'accélérer selon nos besoins.
ÉDIFIANT !
TOUJOURS AUSSI BIEN ÉCRIT !
MERCI ALEXANDRE !
c'est bateau mais... J'AIME BIEN C'QUE VOUS "FÊTE" !"
(oui "fête" ça me plaît bien de l'écrire ainsi !!!)
kisskiss de l'Océan Indien !
(on vous lit de loin !!)
Je pratique, comme psychiatre, le brainspotting , variante de l'EMDR pour désensibiliser les trauma et les émotions débordantes. Dans les 2 techniques il y a une pratique de stimulation bilatérale alternée du cerveau, visuelle, auditive ou tactile. Je me suis toujours demandée si dans le passé la marche, ou le vélo n'avaient pas cette fonction régulatrice des trauma (qui n'épargnaient pas nos ancètres), à travers l'alternance motrice et tactile...
preneuse aussi de liens pour la thérapie en marchant !!!
merci
Merci beaucoup Agnès pour votre message ! Auriez-vous des ressources à me communiquer sur le brainspotting ? Cela m'intéresse... Pour la thérapie en marchant, je vais essayer de faire un épisode dédié sur le sujet !
Bonjour et merci pour ce long partage très intéressant. Je te suis très reconnaissant d'avoir pris le temps de partager autant d'informations et de ressources.
Beaucoup de références que je vais parcourir pour enrichir ma connaissance sur les sujets de l'ennui, du mouvement et de la marche.
Pour ma part, j'appelle ça "fantômer", partir seul durant 2 jours ou plus, pour randonner à pied ou à vélo, dans des zones reculées en autonomie maximale. Marcher seul, me permet de nettoyer et vider mon cerveau de la pollution de la vie courante pour arriver, grâce à la marche, à un état méditatif qui me permet une grande créativité. Je tente de le faire 2 à 3 fois par an.
Quant à la chaise de bureau, je la consomme quand j'en ai besoin, comme le dit si bien l'addictologue Robert Van De Graaf.
Geoffrey
Merci beaucoup pour cet article. Je vais de ce pas aller marcher! Et en faire un rituel
Très intéressant
Et c’est en marchant que tu m’as ouvert les yeux sur tout un tas de sujet mon Alex… ravi de te lire ici !
Le tapis de marche accolé au bureau prend encore plus son sens, lorsqu’il s’agit de rester à la maison. Merci pour ces éclairages créatifs 🫶🏼
Merci pour ce joli retour , @Charly Aourir 🐼 !
en marchant et en roulant à vélo ;)
cela fonctionne tout aussi bien !
Pour la disparition des enfants de l’espace public, la conséquence est aussi que les adultes (certains, décomplexés) ne supportent plus de côtoyer des enfants dans les espaces publics.
Les gens qui ont toujours de la musique ou un casque avec podcast aussi se privent d’ennui.
Oui, et depuis le début de l’écriture de ce livre , nous voyons bien qu’il est impossible de dissocier le sujet de la sédentarité de celui du rapport aux écrans
Merci pour ce bel article! J'admire vos recherches de livres, vidéos et autres sources qui se mèlent tellement bien au sujet! J'ai appris beaucoup de nouvelles choses!
Effectivement se balader sans but peut nous mener découvrir des trésors cachés. Quand je suis à l'étranger j'adore en apprendre plus sur la culture. Après avoir visité des monuments connus, je marche pour voir comment les gens vivent, qu'est-ce-qu'ils font, les odeurs, les sons etc... J'ai beaucoup aimé faire ça en Thaïlande surtout dans les marchés de jour et de nuit.
Et concernant l'école on se pose souvent la question de comment cela pourrait évoluer de manière positive. Cela fait des décennies que les salles de classes sont faites de la même manière, où sont les tables rondes et justement ses lieux de réflexion? Je trouve qu'à l'université, les voyages "fieldtrips" nous aident tellement. J'en ai fait dans des parcs nationaux en Thaïlande et je trouve que c'est la meilleure manière d'apprendre. C'est important de marcher, photographier et échanger avec les autres sur le terrain.
Merci pour le retour Inès ! C'est un super point pour les voyages "field trips"